Le secteur auto pèse lourd dans la balance de l’économie européenne. Face à sa plus importante mutation en 150 ans, il doit plus que jamais se réinventer et miser sur la R&D. Bonne nouvelle, c’est la marque de fabrique de la Belgique, grâce à sa fiscalité avantageuse.

L’industrie automobile s’est construite sur une succession d’inventions qui ont révolutionné notre rapport à la mobilité. Cette histoire d’innovation perpétuelle se reflète dans les investissements massifs en R&D, représentant historiquement entre 4 et 6% du chiffre d’affaires des constructeurs. Du moteur à combustion interne à l’injection électronique, chaque avancée technologique a marqué une étape décisive de son évolution. Plus récemment, les batteries lithium-ion ont ouvert la voie à la révolution électrique. Et demain?

Un secteur résilient porté par ses PME

Avec Audi Brussels, l’actualité du secteur semble sombre. Malgré tout, et c’est tout le paradoxe, il ne se porte pas si mal, notamment grâce à son tissu de PME et de sous-traitants. En 2023, les 450 entreprises du secteur ont ainsi réalisé 20,5 milliards d’euros de CA et fait grimper leurs investissements de 3,5%. Côté emploi, l’industrie représente 110.000 travailleurs, dont 56.000 emplois directs. En Europe, son importance n’est pas moindre: 8% du PIB de l’UE, 30% de ses dépenses R&D européennes et 13 millions d’emplois. Ces chiffres n’occultent pas un virage décisif pour le secteur, bien compris par ses acteurs… L’Europe n’est plus compétitive (par rapport à la Chine, entre autres) en matière d’assemblage de véhicules à la chaîne et doit se tourner vers la technologie, donc innover. D’ailleurs, chaque véhicule produit, aujourd’hui, embarque déjà au moins une puce électronique, issu de l’expertise belge.

L’innovation, une opportunité stratégique et fiscale

Les perspectives et les défis du secteur auto sont multiples: de la voiture autonome à l’électrification, en passant par les technologies d’hydrogène. Pour tenter de rester en pole, la Belgique a fait le choix stratégique de miser sur la recherche et développement, véritable marque de fabrique nationale, entre autres via nos centres de R&D. Cette direction se fonde sur une politique fiscale attractive et généreuse, afin de stimuler les efforts des PME et d’attirer les investissements. De la dispense de précompte professionnel pour les chercheurs (DPP) à la déduction pour revenus d’innovation (DRI), plusieurs mécanismes jouent un rôle de moteur. Dans ce cadre, MoneyOak se positionne comme un partenaire expert, accompagnant les acteurs de l’industrie automobile sur la route optimale de leurs dispositifs fiscaux liés à l’innovation.

Quel que soit votre secteur d’activités, transformez votre R&D en avantage fiscal grâce à l’expertise de MoneyOak. On en parle?