La transformation des organisations n’est plus une option, c’est une nécessité. Mais le chemin du changement est pavé de défis multiples. Devant ces challenges, EPSA Transfo – branche du groupe EPSA, au sein duquel navigue désormais MoneyOak – s’est imposé comme le partenaire de confiance des dirigeants d’entreprise et des industriels, afin de les aider à construire l’avenir, sans compromettre le présent. Yannick Huon, Directeur associé d’EPSA Transfo, lève le voile sur les rouages et la vision d’EPSA Transfo.

Comment expliquer la promesse d’EPSA Transfo en quelques mots?

D’abord, précisons qu’EPSA Transfo est l’une des verticales du groupe EPSA, créé en 2001, qui génère 600 millions d’euros de CA et qui compte 5.000 collaborateurs dans 35 pays. En tant que partenaire de confiance des ETI (entreprises de taille intermédiaire, entre 250 et 4.999 salariés, ndlr), notre vocation est de conseiller et d’accompagner les organisations à prospérer dans un environnement complexe, à travers un plan de transformation personnalisé et d’actions pragmatiques qui perfectionnent leur fonctionnement global. Concrètement, nous améliorons leur performance financière via deux axes: d’abord, un programme cash boost qui permet d’avoir un impact financier rapide, sans tout bouleverser; puis, notre offre de performance opérationnelle qui permet d’optimiser en profondeur toutes les dimensions de l’organisation.

Concrètement, qu’est-ce qui fait votre différence, votre plus-value?

J’insiste sur le caractère holistique et pragmatique de nos interventions, avec un impact très concret et immédiat en matière d’EBITDA. Cela est, entre autres, possible grâce à la qualité et à l’expertise de nos consultants, qui viennent du métier et qui ont 20 à 30 ans d’expérience de terrain.

Quels sont les défis majeurs auxquels font face les entreprises?

Ils sont multiples, mais aujourd’hui, les dirigeants se demandent en priorité comment assurer la pérennité du business? Comment préserver leur croissance dans un contexte économique incertain? Cela implique de revoir son fonctionnement global – ça prend du temps, mais il faut le faire –, tout en survivant à court terme, donc réduire ses coûts pour sécuriser le cash. En filigrane, cela charrie des problématiques diverses, comme la digitalisation, la RSE, la compétitivité, l’attractivité et la fidélisation des talents, etc.

Faut-il encore convaincre les dirigeants à se saisir de leur transformation, plutôt que de la subir?

Non, la majorité des dirigeants manifestent la volonté d’anticiper et de lancer des plans de transformation. Ils ont compris que le changement proactif est plus vertueux. En revanche, ils rencontrent des difficultés au moment de concrétiser la transition pour embarquer leur organisation. Résultat, nombre de projets de transformation sont subis, car ils arrivent trop tard.

Quelle est la méthode EPSA Transfo?

Notre savoir-faire repose sur 6 piliers opérationnels permettant d’identifier les axes de progression pérennes. Cela va de la supply chain aux ressources humaines, en passant par les opérations, les systèmes d’information, les achats et le département financier-comptable. Parmi nos leviers, le management humain – c’est au cœur de tout projet, car sans humain, pas de transformation –, mais aussi des plans de transformation et la gestion des résistances, l’audit des processus, l’optimisation des coûts, le déploiement de solutions digitales, l’intégration des systèmes d’information, etc.

Comment déployez-vous votre méthodologie?

En deux grandes phases. D’abord, nous identifions les axes d’optimisation via un diagnostic complet, réalisé en 6 à 12 semaines. Cette phase cruciale débouche sur la feuille de route opérationnelle, un délivrable clé. Puis vient la deuxième phase, qui consiste à accompagner l’organisation dans le déploiement des recommandations, la mesure des résultats et l’ajustement progressif des solutions. Step by step, main dans la main pour aller chercher la performance!

Comment mesurez-vous les résultats?

Via plusieurs indicateurs, comme le taux de productivité, les gains sur achats, le cash récupéré, l’efficience des machines, la rotation de stock, etc. Dans les faits, nos interventions assurent des gains allant jusqu’à +50% d’EBITDA, + 60% de productivité ou +30% de performance financière…

Un projet dont vous êtes particulièrement fier?

Il y en a beaucoup, car nous sommes actifs dans plusieurs secteurs (BTP, retail, énergie, pharma, aéronautique, etc.) et pays européens (Belgique, Espagne, Allemagne, Italie). Par exemple, pour une grande société française de l’industrie pneumatique, nous avons travaillé sur l’optimisation du stock de pièces de rechange avec une réduction d’environ 45% du volume. Un gros challenge, un projet structurant et, in fine, une belle réussite.

Quel est votre regard sur la situation actuelle et les évolutions à venir dans votre métier?

Nous devons, plus que jamais, faire preuve d’agilité pour nous adapter aux contraintes et aux besoins spécifiques des organisations. Il faut faire du sur-mesure, car les offres généralistes ne convainquent plus! Je suis optimiste, car les moments d’incertitude imposent de se réinventer. Ce sont des fenêtres idéales pour se transformer, pour devenir plus résilient, pour mener des réflexions de fond sur l’automatisation ou la digitalisation, etc. Pour les organisations, c’est donc le bon moment pour lancer des projets structurants, capables d’écrire le futur. De notre côté, nous sommes là pour les accompagner!